Pour ce peintre, la préparation de l’état d’esprit est un processus des plus importants.
Le voyage, la nature et la spontanéité : trois éléments qui l’ont inspiré ces dernières années et qui ont fait parti du processus de préparation intérieure.
Habitué à un narratif plutôt urbain, sa peinture prend, ces derniers temps, le côté jardin et grands espaces. Les montagnes, les lacs et rivières. Les ciels au coucher du soleil et les reflets sur l’eau.
Le trépied dans la neige, assis sur le bord d’une rivière ou, encore, à bord du canot. Et plus récemment, assis à la terrasse d’un pub Irlandais à traduire à l’aquarelle les dernières photos prises des lacs de Killarney.
Il souhaite démontrer que l’acte de peindre est une fenêtre qui s’ouvre, dans laquelle il faut s’engouffrer avant qu’elle ne se referme!